INFOLETTRE
Moi, je pense que rien n'est parfait, parce que dans les deux situations, il y a des points négatifs. Comme en ce moment, les offres sont à l'aveugle, mais oui, ça manque de transparence pour les acheteurs. Les acheteurs vont un peu aléatoirement sur ce qu'il y a. Des fois, ils sont pris dans les émotions. Si les offres étaient connues, là, à ce moment-là, il y aurait dans certains cas une escalade. Où il n'y aurait pas d'escalade, c'est par exemple, mettons, on est en offre multiple, puis on se retrouve avec un gros écart entre le numéro 1 et le numéro 2. Probablement que le numéro 1 aurait payé moins cher. Par contre, il y a des situations, par exemple, où on se retrouve avec 5 offres qui sont pratiquement au même prix. Là, on appelle tout le monde, OK, on est à 500 000. OK, moi, j'offre 500 500, 510. Puis là, là-dedans, on a le syndrome un peu du voisin gonflable. Il y aurait des gens qui diraient, écoute, lui, il offre 5 000, je suis capable. Puis là, on aurait une escalade. Fait que moi, je pense que dans certains dossiers, les acheteurs auraient payé moins cher. Mais dans d'autres dossiers, ils auraient payé plus cher.
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