Il n'y a aucune maison qui ne peut pas se vendre. Il y a un acheteur pour toutes. C'est juste d'avoir le bon prix et la bonne façon de la présenter. Des fois, je fais des évaluations pour des propriétés, puis j'arrive là, et il y a vraiment quelque chose de majeur. Des fois, j'arrive, la maison est croche, il y a de grosses fissures et tout, puis le client me dit : « Écoute, ça se vend-tu ? » La réponse, c'est oui, on peut trouver un acheteur pour toutes.
Une des choses, par contre, c'est qu'il faut que le prix soit en conséquence. Ça, c'est la bonne chose. Je l'explique souvent aux clients, je dis : « Mettons, tu as deux maisons. Il y en a une qui est croche et une qui est droite. Elles sont au même prix. La croche, va-t-elle se vendre ? » Bien non. C'est bien important qu'il y ait le prix en conséquence, mais il n'y a aucune propriété qui ne se vend pas. C'est juste d'avoir le bon prix.
Exemple récent à Repentigny
Je vais donner un exemple. Récemment, surtout à Repentigny, tout le boulevard de l'Assomption, ils ont mis des zones d'éboulement. Ça, c'est des cartographies de la ville. Ils ont tout mis des zones d'éboulement. C'est une réglementation qu'on fait. Il y a plusieurs maisons qui sont là-dedans. Des fois, c'est juste le bout du terrain qui est dedans, mais des fois, c'est la maison au complet qui est dedans. Ça cause vraiment des enjeux au niveau du financement et tout.
J'avais une cliente qu'on a passée récemment au travers du processus. Elle avait bien les enjeux. On regardait avec le financement, avec le SCHF, qu'est-ce qui se finance, qu'est-ce qui ne se finance pas, quelle institution financière va y aller, qui va assurer ce type de bâtiment-là. Puis, on est arrivés avec une solution. C'était long. Là, ce qu'il y a d'habitude, on est arrivés avec une solution. La propriété s'est vendue. Elle s'est vendue à un prix correct en fonction de ce qu'elle est.
